Au cours de ses recherches sur l'identité, Lorine De Azevedo sollicite et invite ses musiciens à la rencontre et à la fusion réelle. Sortir de sa zone de confort pour ouvrir le chemin vers ce langage commun et universel qu'ont les musiciens entre eux.

En passant, par le rock, le hip-hop, le jazz, la musique classique, la musique séfarade, les percussions africaines, le tango argentin, la chacarera, la musique électronique, ou encore différents style de musiques marocaines (Atlas, Gnawa, Chaabi), elle se risque à des combinaisons inédites.

Quoi de plus évident pour cette artiste d'avoir choisi, comme langage artistique, le flamenco dont les origines restent incertaines. Les différentes versions de son histoire se rejoignent sur l'unique fait que ses racines sont multiples et nombreuses.

Dans chacun de ces projets elle s'appuies sur la technique des rythmiques flamencas des pieds et son aisance pour le mouvement libre afin de se confronter à d'autres cultures et élargir le spectre de son expression. Les oeuvres prennent des formes diverses, création de groupes musicaux pour des concerts où encore spectacles de danse et musiques narratifs.